• Renversant - Thomas Lejeune

     

    Et vous, jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour retrouver la personne que aimez le plus au monde ?

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  • Interview Daryl Delight

     

    Bonjour.
    Merci d'avoir accepté de répondre à mes questions.
    ^^
    Tout d’abord, présentez-vous un peu.

    Mon nom de plume est Daryl Delight. Je me considère comme un auteur éclectique qui peut écrire dans tous les genres. Ceci dit, j'ai un penchant certain pour l'horreur, le fantastique et le thriller.

     

    Y a-t-il des auteurs qui ont bercé votre enfance/adolescence ?

    Ce n'est pas très original. Stephen King est le premier à qui je pense. Il y a aussi Clive Barker, Graham Masterton ou encore Lovecraft. J'ai surtout des références cinématographiques, de tout genres. Je peux citer par exemple Martin Scorsese, Wes Craven, John McTiernan, David Fincher, John Carpenter, Quentin Tarantino, James Wan... Et tant d'autres !

     

    Depuis combien de temps l'écriture est-elle devenue une part non négligeable de votre vie ?

    J'écris depuis toujours. Ça m'aide à extérioriser mes angoisses et autres sentiments. Je me suis tourné vers le cinéma pour mes études et je devais écrire des scenarii pour mes cours. J'ai découvert l'autoédition en 2016. Je suis du genre pessimiste alors je n'ai jamais voulu tenter d'envoyer mes écrits dans une maison d'édition. Mais je me suis dit pourquoi pas tenter de les mettre directement sur le web.

     

    Avez-vous des rituels lorsque vous écrivez ? Par exemple, écoutez-vous de la musique ou préférez-vous être au calme ?

    Je préfère le calme. D'ailleurs mes moments les plus productifs sont tard le soir, lorsque la nuit est tombée et que la ville dort paisiblement. Mais je ne suis pas contre un petit orage de temps en temps pour alimenter tout ça. J'aime également boire du thé dans mon mug favori.

     

    Interview Daryl Delight
    Ceci n'est pas le mug de l'auteur mais juste une illustration.

     

    Quel est, en moyenne, le temps que vous consacrez à l'écriture dans une journée lambda ?

    J'écris un peu le matin. Puis le soir. Et puis la nuit avant de dormir. C'est très aléatoire. Ce que je peux vous dire c'est qu'au delà de l'écriture, je pense à mon récit tout le temps. Que ce soit une idée, une phrase ou même un mot que j'aimerais placer dans un contexte.

     

    Avez-vous l’ensemble de votre histoire en tête, ou il y a-t-il une grande part d’improvisation au fur et à mesure que les personnages prennent vie ?

    J'ai quelques idées mais j'aime beaucoup improviser. Je laisse les mots me guider même si parfois il faut que je m'arrête pour rentrer dans une phase de réflexion intense.

     

    Quelle est la première personne à lire ce que vous écrivez ?

    La femme de ma vie. Son avis m'apporte beaucoup et son soutien m'est indispensable !

    Interview Daryl Delight

     

    Faites-vous appel à des bêta-lecteurs ?

    J'y arrive petit à petit mais je ne pense pas en prendre énormément. Les avis divergent tellement qu'il ne faut pas que les bêtas-lecteurs changent complètement mon texte et me donnent des complexes.

     

    Comment et pourquoi en êtes-vous venu à choisir l’auto-édition ?

    La liberté de m'amuser. Car écrire reste ma passion avant tout, j'avais trop peur d'envoyer mes romans à une maison d'édition, de rencontrer trop de refus ou d'ordres concernant mes écrits.

     

    Combien de livres avez-vous fait naître sous votre plume ?

    3 pour le moment. Slave And Mistress mon premier roman, Le faux milliardaire, une courte nouvelle érotique et humoristique. Mon troisième s'appelle La légende de Spellman et annonce mon arrivée dans le genre Horreur et Thriller. Et je compte bien continuer dans ce sens.

     

    Interview Daryl Delight        Interview Daryl Delight        Interview Daryl Delight

     

    Où peut-on se les procurer ?

    Sur amazon, j’inscris mes romans au programme KDP. Alors je ne publie que sur cette plateforme.

     

    Interview Daryl Delight

     

    Parlons maintenant de « La légende de Spellman ». D'où vous est venue l'idée de cette nouvelle horrifique ?

    L'idée m'est venu simplement. Je voulais faire un hommage aux films d'horreur de mon enfance. J'avais trois histoires différentes en tête et je me suis dit que j'allais les écrire dans un recueil de nouvelles. Et puis en cours d'écriture je me suis dit que les histoires avaient un point commun et qu'il serait beaucoup mieux d'y ajouter un fil conducteur. Ce qui m'a amené à créer une dernière histoire.

     

    N'est-ce pas trop dur de trucider des adolescents (les pauvres !) à tour de bras ? Enfin littérairement, bien entendu. ;-)

    Ho non... j'adore ! Je vais même vous citer Scary Movie : « J'en ai marre de tous ces adolescents boutonneux ! ». Haha.

     

    Petite question bête, mais pourquoi un doberman et pas une autre race ? 

    J'aime beaucoup les doberman, ça m'est venu comme ça, je trouve la race assez inquiétante si vous la croisez seul la nuit. Et je pense que inconsciemment l'image est venu du jeu Resident Evil. Je m'en suis rendu compte seulement après, mais c'est parfait car ça rentre parfaitement dans la thématique de la nouvelle qui est l'hommage aux films d'horreur. Même si c'est un jeu vidéo, ça me va très bien.

     

    Interview Daryl Delight

     

    Lors d'une soirée feu de camp et histoires qui font peur, quel est le rôle que vous joueriez ? Celui qui raconte les histoires les plus trash ? Celui qui surgit d'un buisson en hurlant « BOOOOUUUUHHH ! » ? Celui qui tremble dans un coin ? Celui qui essaye de rassurer les autres en leur disant que ce ne sont que des histoires ?

    Celui qui raconte et qui veille tard pour épier les autres se méfier de leur ombre. Sortir d'un buisson et crier pour faire peur est trop simple. Je déteste les Jumpscares comme on les appelle. Je préfère créer une ambiance. La peur doit venir après l'histoire, lorsque vous hésitez à descendre la nuit pour aller vous chercher un verre d'eau.

     

    Il est parfois des légendes qu'il vaut mieux laisser dormir. Y en a-t-il une en particulier qui vous ai déjà effrayé ? (Dame Blanche, Bloody Mary...) 

    Les légendes urbaines les plus effrayantes sont souvent tirés de faits réels. Vous réveiller avec une cicatrice et un rein en moins dans une baignoire pleine de glace. Voila qui peut faire peur. Je citerai simplement un passage du film Urban Legend : « Ma mère regarde toujours sous la banquette arrière avant de monter en voiture. ». On ne sait jamais, un homme armé d'une hache pourrait y être caché !

     

    J'ai cru lire qu'il serait possible que cette nouvelle ne reste pas un one-shot ? 

    Un volume 2... Un jour peut-être. Mais je compte écrire d'autre romans avant... A moins que les lecteurs le réclament très vite.

     

    Interview Daryl Delight

     

    Avez-vous d’autres projets littéraires ?

    Oui beaucoup d'idées se bousculent dans ma tête. Je sais déjà que je compte continuer dans ce genre. Horreur ou Thriller. Je me suis éclaté à écrire La légende de Spellman, alors je compte bien m'éclater de nouveau.

     

    Encore une fois, merci beaucoup d'avoir pris le temps de répondre à mes questions. ^^
    Un dernier mot pour la fin ?

    N'allez jamais dans une maison perdue dans la forêt !

     

    Interview Daryl Delight

     

     

     

    Merci à Daryl Delight d'avoir eu la gentillesse, la patience et la rapidité de répondre à mes questions. C'est quelqu'un de gentil et d'abordable.
    Si vous en avez, n'hésitez pas à (lui) poser des questions dans les commentaires. ;-)


     

     

     

     Bibliographie de Daryl Delight :

    Slave And Mistress : Quand les femmes prennent le pouvoir
    Le faux milliardaire (Nouvelle érotique) 
    La légende de Spellman (Nouvelle horreur) 


     
    Livre lu
     
     

    La légende de Spellman

      

    Où retrouver l'auteur ?


    Site

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    Amazon

     

    Interview Daryl Delight
    Marques-page La légende de Spellman.

     


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  • Les Fils du Destin - Chris Red

     

    Prêt à changer de planète et à sauver la galaxie ?

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  • Interview Marion Roudaut

     

    Bonjour.
    Merci d'avoir accepté de répondre à mes questions.
    ^^

    Mais de rien, ça me fait plaisir de papoter !

     

    Tout d’abord, présente-toi un peu.

    Salut, je m’appelle Marion et j’ai 22 ans. Après avoir tenté ma chance auprès des maisons d’édition (à 17 et 18 ans, naïve et inconsciente que j’étais), j’ai fait la connaissance d’auteurs géniaux sur Wattpad, avec lesquels j’ai finalement fondé L’Attelage ! Et sinon, je suis bretonne et actuellement en master web éditorial.

    Mes crêpes sont fameuses.

     

    Interview Marion Roudaut

     

    Y a-t-il des auteurs qui ont bercé ton enfance ?

    Comme beaucoup d’enfants de ma génération, j’ai grandi avec la saga de J.K Rowling ! Sinon, dans l’ensemble, j’ai passé de longues années avec des ouvrages dont je déconseille la lecture aujourd’hui, parce qu’ils m’ont immensément déçue in fine : Tara Duncan, ou encore Les Chevaliers d’Émeraude avaient un formidable potentiel, avant d’être gâchés sur la longueur – je dirai même que Sophie Audouin-Mamikonian a massacré sa saga. Mais même ces lectures décevantes ont joué leur rôle dans la formation de mon imaginaire et le développement de mon écriture : ça m’a donné des exemples ce que je ne veux pas faire ! Eragon a les mêmes travers, avec deux derniers tomes calamiteux.

    Par contre, des séries comme Fablehaven ou Percy Jackson m’ont enchantée ; je les recommande ! La série des Narnia a vivifié mon imaginaire. Et sinon, j’ai aimé lire des classiques (Dumas, Hugo, Flaubert, Austen, Baudelaire, Rimbaud, etc), et tout ce qui touchait à la mythologie celtique et gréco-romaine.

     

    Depuis combien de temps l'écriture est-elle devenue une part non négligeable de ta vie ?

    C’est mon professeur de CM1 qui m’a donné le goût de l’écriture en imposant des rédactions toutes les deux semaines. Ma mère, qui a une jolie plume, planchait avec moi sur les histoires, tous les mercredis, et les bonnes notes m’ont motivée ! J’ai cogité des années, à la recherche de ma propre histoire, jusqu’à trouver ma voie à 16 ans. J’ai accumulé les textes par-ci par-là entre temps.

     

    As-tu des rituels lorsque tu écris ? Par exemple, écoutes-tu de la musique ou préfères-tu être au calme ?

    La plupart du temps, j’écris en musique ! Ça m’est nécessaire pour plonger dans l’ambiance adéquate, ça invoque tout de suite des images. Sinon, je n’ai pas de rituels en particulier, au risque de décevoir ! J’ai besoin d’être à un bureau, relativement au calme. Je peux écrire dans le bruit, ou pendant un cours, mais le résultat nécessite de bonnes corrections derrière en général !

    Interview Marion Roudaut

     

    Combien d’heures par jour passes-tu à écrire ?

    C’est variable, ça dépend du travail que me demande la gestion de L’Attelage et mon master ! Mais allez, disons que les bonnes semaines, je peux accumuler 5-6h d’écriture.

     

    As-tu l’ensemble de ton histoire en tête, ou il y a-t-il une grande part d’improvisation au fur et à mesure que les personnages prennent vie ?

    J’avoue ne pas trop comprendre lorsque des collègues auteurs et autrices prétendent que leurs personnages « n’en font qu’à leur tête », haha ! J’ai une idée bien précise de comment ils doivent se comporter. Concernant l’intrigue, je laisse une bonne part à l’improvisation, mais dans un cadre maîtrisé : je sais d’où je pars, avec quels personnages, ce que je dois incorporer en termes de concepts, d’événements clefs, d’images et d’idées, vers où je dois aller, mais il y a des trous à combler au fur et à mesure de l’écriture ; c’est impossible (ou suicidaire) d’écrire une saga sans aucun plan !

     

    Quelle est la première personne à lire ce que tu écris ?

    C’est Maxime, l’un des Attelés fondateurs ; nous sommes en discussion quasi tout le temps, dès que nous sommes sur nos PC respectifs, donc ça facilite de facto les échanges ! J’estime beaucoup son écriture et son regard critique, d’où l’importance de ses retours. Mais mes autres compères attelés, Julien et Karole, sont juste derrière pour me relire et me prodiguer leurs précieux conseils ; j’ai de la chance de faire partie d’un tel groupe.

     

    Fais-tu appel à des bêta-lecteurs ?

    Alors, L’Attelage a ça de génial que les lecteurs lisent ce qu’on écrit au fur et à mesure, tous les mois, à chaque chapitre publié ! On pourrait dire que ce sont nos bêta-lecteurs de luxe, puisqu’ils nous aident à rectifier, voire à réécrire, ce qui ne va pas. Les versions propres de nos histoires achevées, c’est à leur investissement qu’on les doit !

     

    Interview Marion Roudaut

     

    Comment et pourquoi en es-tu venue à choisir l’auto-édition ?

    On pourrait croire que les auto-édités décident de tout faire eux-mêmes par aigreur, déçus de ne pas avoir été retenus par le circuit traditionnel ; ce n’est pas mon cas. J’ai bien conscience de la médiocrité des manuscrits que j’ai expédiés à mes 17 et 18 ans, ils ne pouvaient être que refusés !

    Je me suis « juste » rendue compte que j’avais énormément idéalisé le système éditorial, que je ne voyais que le côté prestigieux et réconfortant de la reconnaissance de mon travail par des professionnels.

    Mais quand on creuse un peu, on découvre un système qui appauvrit les auteurs, les empêche de vivre de leur plume et les accable de nombreuses contraintes. Puis, une fois qu’on a goûté à des alternatives comme Wattpad, on ne peut plus se passer de l’interaction en direct avec les lecteurs.

    Tout ça m’a conduite à la fondation de L’Attelage !

     

    Combien de livres as-tu fait naître sous ta plume ?

    Un seul pour l’instant, Les Prétendants, le premier tome de ma série Fantasy… et c’est déjà pas mal, vu la taille du bestiau !

     

    Interview Marion Roudaut                    Interview Marion Roudaut
    Partie 1                                                                                   Partie 2

     

    Où peut-on se les procurer ?

    C’est en lecture gratuite et illustrée (merci les contributrices <3) sur le site de L’Attelage ; foncez-y, vous le trouverez parmi la foule de bons romans qu’on vous propose ! J’ai aussi commencé à y publier le tome 2.

     

    Interview Marion Roudaut

     

    Parlons maintenant du « Livre du Destin T1 – Les Prétendants ».
    Pourquoi ce choix de faire un roman fantasy ?

    C’était mon genre littéraire préféré (et ça l’est toujours) quand j’étais ado, ça m’a paru naturel d’y plonger. Tout, ou presque, est permis !

     

    Comment t'est venue l'idée de cette histoire ? Quelles en ont été les premières bases ?

    J’ai très longtemps réfléchi à la série que j’aimerais écrire, depuis ma classe de CM1 pour être honnête. Je voulais être autrice, et puis c’est tout. Puis, durant une heure de permanence en seconde, j’ai cogité autour du terme de « dragonnier » qu’on trouve dans la série Eragon, et je me suis dit que c’était un néologisme super bien trouvé. J’ai tenté d’en créer un et, je ne sais trop comment, j’ai abouti au terme d’ « Alfadryon » ; Zéphyr est né, puis sa jumelle Dana, et les autres. J’ai construit l’univers et l’histoire autour d’eux, injectant ce que j’avais toujours aimé dans mes lectures de jeunesse, et des éléments que j’aurais aimé croiser dans mes romans préférés.

     

    On y retrouve des races plutôt classiques (Elfes, Nains, Fées, Dragons...) et d'autres que l'on rencontre moins souvent (Centaures (<3), Dryades, Hamadryades, Satyres... ). Cependant chacune porte un peu de toi. J'imagine que tu as dû faire quelques recherches pour te les approprier ?

    J’ai dévoré pas mal de manuels et vu beaucoup de documentaires sur la Préhistoire et l’Histoire, en passant par les mythologies du monde ; un terreau parfait !

     

    Tu as une plume très fluide, très agréable et fraîche. Je suis fan ! Tu as fais le choix de créer une héroïne assez « classique » et réaliste, mais avec une répartie acérée. Peux-tu nous en dire un peu plus à son sujet ?

    Pour l’anecdote, Morgane est le dernier personnage qui m’est venu. Je trouvais qu’il manquait quelque chose à mon groupe de héros, il manquait un liant, une présence qui, peu à peu, les souderait tous. C’est comme ça qu’elle m’est venue, par nécessité de parachever la fresque narrative en construction.

     

    Interview Marion Roudaut


    Restons avec les personnages. Lequel prends-tu le plus de plaisir à mettre en scène ?
    A contrario, lequel est le moins coopératif (le vilain) ?

    Zéphyr est le plus plaisant à mettre en scène… parce que le plus complexe. Cassim me permet aussi de m’éclater, mais, définitivement, l’Alfadryon a ma préférence. J’aime les choses un peu brisées.

    Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, Morgane est particulièrement difficile à manipuler : une héroïne dite « principale » peut très vite devenir insupportable, clichée et envahissante. Je suis très prudente dans son traitement, je veux la garder aussi crédible que possible, avec ses forces et ses faiblesses bien dosées.

     

    Merlin, tu nous l'as complètement chamboulé ! Mais j'adore ! Cela n'a-t-il pas été trop difficile de transformer un enchanteur de légende en sorcier 2.0 ?

    Haha non, Merlin me permet d’explorer toute la palette des émotions humaines, parce qu’il a un passé très lourd, dont il ne se débarrassera jamais, et de nombreux secrets. C’est toujours un plaisir de prendre des personnages que tout le monde connaît pour les détourner et en faire des êtres surprenants ! Le mieux, c’est de parvenir à concilier la tradition et la nouveauté, en ajoutant ma touche qui reste cohérente avec la légende originelle.

    Interview Marion Roudaut

     

    Pour Nunki (il a l'air trop mignon !) et ceux de sa race, comment t'est venue cette idée ?

    Très honnêtement… Je ne sais pas. Mais depuis peu, je soupçonne les séries de mon enfance (Pokémon ou encore Yu-Gi-Oh !) de se mélanger pour créer des créatures bizarres, à partir de souvenirs déformés. Les lumignons sont sûrement un mélange de togepi et de kuriboh aîlé, pour ceux à qui ça peut parler – j’ai honte.
    Il ne faut pas, j'adore l'idée ! Et puis Kuriboh était mignon, même si je lui préférai le Magicien des Ténèbres et le Gardien Celte. ;-)

     

    Interview Marion Roudaut                      Interview Marion Roudaut

     

    Quelle est la scène que tu as préféré écrire ?

    La scène dans la Crypte du Destin, sans hésiter ! Elle concentre pas mal de concepts qui me sont chers et qui irriguent toute la saga.

     

    J'ai pu noter une certaine référence à Patrick Sébastien. Pourquoi lui en particulier ? :p

    Alors ça, c’est un ultime ajout de réécriture suggéré par Maxime, pour rire, mais ça marche bien, haha !

     

    Interview Marion Roudaut


    Petite question un peu bête mais... lequel a vu le jour dans ta tête avant l'autre ? Manau ou le prénom de Dana ? XD

    La question n’est pas bête… J’avoue que je ne sais plus trop si j’ai connu ce prénom d’abord grâce à Manau, ou d’abord grâce à la mythologie nordique… Damn. Tu m’as eue.

     

    Interview Marion Roudaut

     

    Si tu pouvais choisir de rentrer dans ton livre, quelle race voudrais-tu incarner ?

    C'est tout vu : je voudrais être une Dragonne ! Pouvoir se transformer quasi à volonté, selon l'humeur, selon les besoins, ça doit être absolument génial. Besoin d'un peu de muscles ? Done. Tu veux les cheveux longs aujourd'hui ? Done. Tu veux être un mâle ? Done. Les possibilités sont infinies, des plus sérieuses aux plus marrantes.

     

    Interview Marion Roudaut


    Pour les curieux (et je me considère dans le lot), combien de tomes comprendra cette saga ?

    7 ! Je suis ambitieuse, ou trop gourmande, au choix.

     

    As-tu d’autres projets littéraires ? 

    Pas dans l’immédiat, je souhaite vraiment me dédier à ce gros projet avant de m’embarquer dans autre chose, mais je laisse des idées me venir. On verra comment elles évoluent avec les années.

     

    Encore une fois, merci beaucoup d'avoir pris le temps de répondre à mes questions. ^^
    Un dernier mot pour la fin ?

    Merci beaucoup pour cette interview et, ma foi, jetez au moins un œil au site de L’Attelage : si vous aimez lire et si vous aimez les communautés soudées, ça devrait vous plaire !

     

    Interview Marion Roudaut

     

     

     

    Merci à Marion Roudaut d'avoir eu la gentillesse, la patience et la fabuleuse rapidité de répondre à mes questions. C'est une jeune femme pleine de vie et d'humour, très abordable.
    Si vous en avez, n'hésitez pas à (lui) poser des questions dans les commentaires. ;-)
    N'hésitez pas non plus à aller faire un petit tour sur le site de L’Attelage.

     

     

     

     Bibliographie de Marion Roudaut :

    Le Livre du Destin T1 – Les Prétendants
    Le Livre du Destin T2 – Sagesse pervertie (En cours d'écriture) 
    Le Livre du Destin T3 (A venir) 
    Le Livre du Destin T4 (A venir)
    Le Livre du Destin T5 (A venir)
    Le Livre du Destin T6 (A venir)
    Le Livre du Destin T7 (A venir)



    Livre lu
     
     

    Le Livre du Destin T1 - Les Prétendants

      

    Où retrouver l'auteure ?

    L’Attelage

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